But nobody's home.

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Suite à environ quarante minutes de marche, j'arrivai enfin dans ma petite cabane tout sauf luxueuse. Je fermai la porte, sans toutefois la verrouiller. Comme il faisait plus sombre à l'intérieur, j'allumai un feu.

Je fis les cent pas durant quelques minutes, tournant en rond, perplexe, cherchant quoi m'occuper. Je commençai par replacer les draps de mon lit. Je sortis une serviette de ma commode, vidai un peu d'eau de ma gourde dessus et me nettoyai le visage. Je retournai ensuite la ranger.

Je pris finalement mon sac et allai m'asseoir à table. Je pris des feuilles vierges, mon encrier et ma plume, sortis mon livre sur les Drows et continuai ma lecture. Au fur et à mesure que je lisais, ma plume glissait sur la feuille, écrivant quoi, je ne saurais le dire, des choses que je lisais, que je ne voulais pas oublier. Je recopiai même certain dessin qui se trouvaient dans le dessin, le tout question de tuer le temps.

Soudain, j'eus une idée que je n'avais pas mis à l'oeuvre depuis longtemps. Je sortis mon petit pendule, pendant au bout de sa chaîne en or, et en ouvrit la petite vitre pour faire avancer le temps d'une heure. Bien sûr, quand j'avançais le temps, personne ne s'en rendait compte, ils continuaient à faire leurs choses, comme si de rien n'était.

Puis je restai assise, à attendre. Attendre quoi? Probablement la fatigue, de façon à pouvoir aller me coucher. Le sommeil était une bonne façon de tuer le temps.

Je chantonnais un petit air elfique tout en marchant dans les bois. Ça sentait bon le bois et les fleurs. Le bruit de mes sabots contre les feuilles était agréable.
Le grondement de mon estomac me força à m'arrêter pour manger. Je sortit une miche de pain de mon sac en bandouillère et le mangea avec appétit.
Une légère brise se leva, amenant à moi une odeur nouvelle, une odeur que je ne connaissait pas. Remettant mon diner sans mon sac, je me levai, suivant l'odeur. Je courrais presque. L'odeur devenais de plus en plus forte, signe que je me rapprochais.
En peu de temps [Non, je cours pas si vite, c'est la faute du pendule], j'arrivais devant une petite cabane. La chose qui sentait bon se trouvais à l'intérieur. Je cognais doucement.

Je fis un saut lorsque l'on cogna à ma porte. Qui cela pouvait-il être? Personne ne savait que j'habitais dans les bois... sauf peut-être le Drow que j'avais croisé quelques heures plus tôt? Je fermis mon livre, reculai ma chaise et me dirigeai rapidement jusqu'à la porte. Je l'ouvris lentement: j'échappai un hoquet de surprise en appercevant... un Faune! À ma porte!

Je restai figée sur place, éberluée. C'était la première fois de ma vie que je voyais un Faune. Habituellement, dans cette forêt, il n'y avait que des animaux, parfois un Elfe, mais surtout pas l'une de ces créatures. Je cherchai rapidement quoi dire, mais en vain. Qu'est-ce qu'il faisait là d'abord? Les Terres des Faunes et des Satyres était complètement à l'autre bout du Monde Gris... * Peut-être s'était-il égaré? De toute façon, je n'avais rien à craindre, les hommes-bouc étaient des créatures pacifiques.

- Euh... bonjour? dis-je, hésitante.

* Je tiens à spécifier que le Monde Gris est où se trouve les terres, ce n'est pas vraiment un monde, c'est plus comme un pays.

On m'ouvris la porte.
De l'autre côté se trouvais une jeune fille, l'air surprise de me voir. Elle ne ressemblais à aucune espèce que je connaissait. (Il faut dire que je ne connais que les faunes/satyres, elfes et drows)
Elle semblait troublée de ma visite. J'était si bizarre que sa? Pourtant, c'est elle qui sent drôle!
- Euh... bonjour? dit-elle en hésitant
- Salut! dis-je, enjoué. Comment sa va?
Je lui fit mon plus beau sourire amical.

"D'acord..." pensai-je. "Il n'a aucune espèce d'idée de qu'est-ce que je suis et, apparemment, il n'a aucune raison précise d'être là. Mais pourquoi il reste ici, devant ma porte? Il n'a rien de mieux à faire que bavasser avec une humaine?"

Il avait l'air sympathique. Peut-être un peu trop. Son sourire me fit penser à celui d'un petit garçon. Bien que troublée, je tentai de lui rendre son sourire. Je n'imaginais pas les Faunes aussi beaux. Dans les livres, sur les illustrations, ils ont souvent l'air vieux et malin.

- Euh, je vais bien, répondis-je. Dit-moi, que fais-tu ici, sur les Terres des Humains?

Bon, eh bien maintenant il savait où il était, et savait quelle était ma race. Je trouvais ça étrange qu'il ignore ce qu'était un Humain, il me semble que tout le monde le sait... Enfin bon, peu importe. Il avait sûrement eu un instruction différente de la mienne.

- Dit-moi, que fais-tu ici, sur les Terres des Humains? me demanda-t-elle
Elle ne devait pas voir de Faune souvent car j'avais l'air de la désorienter.
- Je suis déjà sur la Terre des Humains! Le voyage est moins long que je pensais.
Donc, c'est une humaine. C'est plutot joli, les humains. Sa sent différent, mais c'est joli.
-Je cherche d'autre Faunes. repris-je Tu en a vu? Non, surement pas, vu la façon dont tu réagis. (Je ris) Je viens de la Terre des Elfes. Je vis là-bas. Non, je vivais. Tu connais les Drows? Ils ont tout tué ma famille, là-bas, sur la Terre des Faunes. Et...

Je me calmais. J'avais l'air d'un vrai moulin à paroles, elle allait me prendre pour un dingue.
Je jetais un rapide coup d'oeil à l'intérieur. Personne.
- Dis, pourquoi tu habite toute seule?

Bon sang, que répondre à cela? J'ignorais totalement pourquoi je vivais seule. De toute façon, avec qui aurais-je pas habiter? Mes parents sont morts, et je n'ai jamais pris la peine de me faire des amis puisque, la seue et unique chose que je fais à longueur de journée, c'est m'instruire.

- À vrai dire... balbutiai-je, enfin, c'est que mes parents sont morts.

De toute façon, cela ne me déplaisait pas de vivre toute seule. Et je n'avais probablement pas assez de place pour accueillir quelqu'un d'autre. Je n'avays pas non plus les moyens de me payer un vrai foyer, ne serait-ce même qu'une chambre d'hôtel.

- Tu veux entrer? dis-je en lui désignant l'intérieur.

Bon, ce n'était pas une maison de luxe, mais c'était toujours mieux que de rester debout sous le cadre de la porte à ne pas savoir quoi dire.

Ses parents étaient morts, tout comme les miens. Une orpheline, comme moi. Sauf qu'elle, elle n'avais pas eu de parents adoptifs. La pauvre. J'eus envie de la prendre dans mes bras, mais je me dis qu'on ne se connaissait pas assez, cela aurait pu être déplacé. Je lui souris encore une fois.
Elle m'invita a enter chez elle. C'était simple, mais très joli. Cela faisait des lunes que je n'avais pas mis les pieds dans une maison. N'importe quoi m'aurais parru superbe, mais sa maison était accueillante.
- C'est joli chez toi, lui dis-je
Puis, je remarquais la quantité phénoménale de livre. Certainement pas autant que les «grands», mais quand même. J'aimais lire les livres qu'il y avait sur la Terre des Elfes. C'est comme sa que j'ai appris l'art des herbes. Ses livres à elles ne devaient pas parler de ca. Enfin, pas tous.
J'observais l'intérieur, puis me tourna vers elle.
- Je m'appelle Elendil, enchanté! dis-je en riant
Je lui tendis ma main en souriant.

Avoir su que j'aurais un semblant de visite, j'aurais essayé de faire un peu de ménage. Mes livres, mes feuilles n'étaient pas rangés. Enfin, ce n'était pas la fin du monde. Après tout, quoi que j'aurais pû faire, cette cabane serait restée aussi... bannale qu'elle ne l'était déjà.

- Je m'appelles Ellyan Gray. Ravie d'avoir fait ta conaissance, lui dis-je en souriant.

Je marchai distraitement, ramassant mes livres pour n'en faire qu'un pile et la mettre sur ma table de chevet. Je ramassai quelques effets personnels et rangeai rapidement le tout dans ma commode.

- Tu veux que je te serves quelque chose? Il doit me rester quoi faire du thé, et j'ai été cueillir des baies hier, il ne faudrait pas les gaspiller...

Avant même qu'il ne me réponde, je sortis mon petit chaudron bosselé et y versai l'eau que j'avais été cherchée un peu plus tôt dans la journée. Je la mis sur le feu [le tout tenant avec des branches, un peu comme quand on fait cuire un cochon] puis allai cherchai dux bols de bois. Les fruits étaient dans un petit panier de paille posés sur la table, je l'ai répartit également dans les deux bols, le tout fait assez rapidement.

- Tu veux que je te serves quelque chose? Il doit me rester quoi faire du thé, et j'ai été cueillir des baies hier, il ne faudrait pas les gaspiller...
Je n'eus pas le temps de répondre que déja, elle s'activais.
- Heuu, oui, daccord! Merci.
Je me dirigeais vers la table et m'assied sur un des deux chaises. Je la regardais s'affairer.
- Tu as besoin d'aide?

Je n'étais pas habituée au fait qu'il y ait des gens chez moi. Cela me rendait nerveuse. Je voulais tout de même faire bonne impression malgré ma cabane miteuse et mes petits moyens. Je retournai près du chaudron et constatai que l'eau commençait déjà à bouillir. Je sortis deux tasses et déversai l'eau bouillante dedans, y glissant une poche à thé dans chacun.

- Non non, ça va aller, dis-je en souriant tout en déposant les tasses sur la table.

Je pris le livre qui y traînait dans mes mains, celui sur les Drows. À cet instant, je ne pus m'empêcher de repenser à l'Elfe Noir apperçu dans les bois. Je n'arrivais toujours pas à comprendre ce qu'il était venir faire ici. J'espérai même qu'il n'ait pas été à Orchys, car il se serait littéralement fait massacré. Enfin, revenant à la réalité, je déposai le livre sur mon lit et allai m'asseoir à table en compagnie de... Elendil, si je ne me trompes pas.

- Tu sais, ce n'est pas si mal, vivre toute seule, lui avouai-je en sirotant mon thé.

Comme il était trop chaud, je le déposai sur la table, tenant toujours la poignée de la tasse entre mes doigts, et traçant des cercles sur le bois de la table avec l'index de mon autre main.

Le thé était un peu chaud, mais excellent.
- Tu fait du bon thé, Ellyan.

Elle semblait nerveuse. Avait-elle peur de moi? J'en doutait, sinon elle ne m'aurais pas fait entrer chez elle.
Elle ramassa un livre sur la table. Un livre sur les Drows! Les aimait-elle ou c'était seulement par curiosité qu'elle lisait ce livre? Peu importe.
- Tu sais, ce n'est pas si mal, vivre toute seule
En effet, elle n'avais pas trop l'air mal. Sa maison était assez grande pour une seule personne et semblais solide.
- Moi, être seul, j'aime pas trop. J'endure, mais j'aime pas trop. Je chante quand je suis seul. Tu chante, toi?
Repensant au livre sur les Drows, une idée me travers l'esprit.
- Tes parents...C'est les Drows, c'est sa?

Le Faune était un curieux personnage. Il était assez attachant. Les enfants du village l'adoreraient, s'ils le rencontreraient un jour. J'avais déjà lu dans un livre que les Faunes aimaient beaucoup faire la fête, danser, chanter et jouer de la musique, tout comme les Satyres. J'en eu la certitude lorsqu'il me dit que lorsqu'il était seul, il chantait.

- Tu chante, toi? (silence) Tes parents... C'est les Drows, c'est sa?

J'avalai ma salive de travers. Il était perspicace. Il avait compris juste en voyant le livre sur les Drows. Enfin, je ne lisais pas ces livres uniquement pour cette raison, mais bien parce que j'étais curieuse d'en savoir plus sur eux. Je ne pouvais m'empêcher d'éprouver une légère haine envers eux, ils avaient tout de même assassinés mes parents et pillé mon village, mais j'éprouvais également une fascination sur leur façon de vivre et leur langue.

- Tout d'abord, non je ne chantes, car je suis une piètre chanteuse. Et, oui, mes parents ont été assassinés par une horde de Drows. Ils ont attaqués mon village lorsque j'avais six ans.

Je perçus en lui un drôle de sentiment. Ces parents aussi avaient dûs être tués par des Elfes Noirs, j'en était presque certaine. Les drows ont une bien mauvaise réputation, et c'est dommage. Il devait bien y avoir, quelque part dans ce monde, un Drow qui désirait autre chose que de répendre la souffrance et la douleur sur son passage?

-Les miens aussi...Je, je suis désolé.
Un malaise s'installa. Je n'aurais pas du ramener le sujet.
«Dilly, quel imbécile tu fait!» pensais-je.

-Bon...Sinon, tu fait quoi durant le jour? Il faudrait que j'aille au village, tu m'accompagne? Je ne sais pas où sais.

Aller au village? Ce n'était peut-être pas une très bonne idée. Les Humains n'ont pas l'habitude de voir des Faunes, même que la majorité d'entre eux n'en ont jamais vu de leur vie. Comment réagiraient-ils? Ils ne sont tout de même pas assez cruel pour lui faire du mal, ça j'en étais certaine mais, tout de même.

- Au village? Hum, oui oui, je vais t'accompagner, répondis-je perplexe.

Bon, de toute façon, rien de grave ne pouvait arriver. Il allait juste simplement attirer l'attention. Je me dirigeai vers ma commode et sortit ma ceinture dans laquelle je mettais ma dague. Je ne comptais pas l'utiliser, c'était juste au cas où nous serions en situation crittique. Je pris soin de la mettre sous mon chandail, de façon à ce que les gens ne la remarquent pas.

- Il faudra juste que tu essaies de ne pas trop attirer l'attention, les humains ne sont pas habitués de voir des Faunes. Déjà qu'avec ton apparence, tu risque de faire parler de toi, il faudra que tu sois prudent. Mais bon, tu verras, les Humains sont habituellement assez gentils.

C'était pour cela qu'elle avait réagit bizarrement en me voyant. C'est étrange cette réaction face à l'inconnu. Je crois que les humains ne cesseront de m'étonner.
- Donc, il ne faut pas que je fasse ça?
Et je me mis à danser, les deux mains dans les airs. Mon sabot tappait la cadence sur le sol. Je m'arrêtais et rit.
- Je vais être sage, promis, dis-je en prenant un air d'enfant puni. Y a-t-il un herboriste au village?

Je ris timidement lorsqu'il se mit à danser énergiquement. Les livres disaient vrais: les Faunes étaient de bons danseurs et aimaient s'amuser. Je passai rapidement devant le miroir (il faut me pardonner, je suis une fille) puis enfilai mon sac en bandoulière.

- Un herboriste? Peut-être. Je sais qu'il y a de vieilles bonnes-femmes qui vendent des trucs de magie près du libraire. Allez, on y va? lui proposai-je en souriant.

J'ouvris la porte et l'invitai à sortir. Rendus dehors, je refermai la porte (logiquement) puis commençai à marcher. Il faisait frais, le vent était agréable.

- Nous en avons pour environ vingt ou trente minutes de marche. Tu verras, c'est assez joli, comme village. Il a été recontruis il y a huit ans, après que les Drows l'aient dévastés.

-C'est plus loin que je croyais. C'est pas grave, sa va nous permettre de jaser encore (clin d'oeil). Je t'aime bien, tu es gentille.
J'accèlerai le pas, la dépassant. Je m'arrêtais à quelques mètres devant elle et étendis les bras, laissant le vent frais jouer contre mon pelage. C'était agréable comme caresse. Je soupirai les yeux fermés en attendant qu'elle me rejoigne.
Lorsqu'elle fut à mes côtés, je me remis à marcher à sa vitesse.
- Y a-t-il une chose que les Drows n'aient pas pillés?

Je soupirai. Les Drows n'avaient-ils pas le droit d'avoir une seconde chance? Je leur accorderait bien, moi. Si seulement ils voulaient changer un peu. malgré nos races, nos différences, nous sommes tous capables de faire le bien. Comme au tout début.

J'ai lu des livres sur les création du Monde Gris. Rien n'était ainsi avant. Même ce monde ne portait pas ce nom. Tout le monde vivait dans l'harmonie. Aujourd'hui, il n'y a que la guerre.

- Tu sais, je crois en ce monde. Qu'un jour, il redeviendra comme avant, lui avouai-je.

Je continus à marcher, n'ajoutant rien. Je me perdais dans mes pensés, tentant d'imaginer de quoi pouvait bien avoir l'air le monde, jadis. Un monde où les Drows et les Elfes vivaient encore ensemble, ou l'Homme aidait son prochain.

J'ignorais ce que pensait Elendil de tout cela. Les Drows avaient également tués ses parents, peut-être que sa haine envers eux étaient plus forte que la mienne?

- Je n'ai pas souvenir du monde avant et je n'y connait rien. Moi, c'est ce monde que je connais et je n'ai rien pour comparer. Où j'ai vécu, chez les elfes, tout le monde s'aide et s'aime. La guerre, ça existe pas, là-bas. Pas encore, en tout cas. Je ne sais pas ce qu'il se passe ici, mais sa à l'air bien différent. Pour moi, les Drows sont les méchants et tout les autres les gentils.
Je fis une pause pour remettre mes idées en place. Oui, les Drows avaient tués tout ceux que j'aimais. Oui, je leur en voulait. Mais une part de moi leur avait pardonné. C'est seulement par principe - ou par pure égoïsme - que je les recherche.
- Quant aux Drows... Je ne sais pas. Tout ce que j'ai vu d'eux, c'est ce qu'ils ont fait à mon village natal et aux personnes que j'aimais. Et il y a aussi les ragots. ils n'ont pas une très belle réputation. Une partie de moi ne leur en veux plus. Mais l'autre réclame vengeance. Je sais que seul, je n'y peut rien, autant abandonner.

Après une vingtaine du minutes, nous arrivâmes enfin aux abords du village. Je n'ai nullement besoin de préciser que beaucoup de gens curieux regardaient le Faune à mes côtés. Les enfants dans la rue le pointait du doigt en demandant à leurs parents ce que c'était. Cela me mit un peu mal à l'aise, je n'aimais pas attirer l'attention.

- Tu devrais trouver ce que tu cherche là-bas, dis-je en désignant une boutique au coin de la rue.

En fait, j'ignorais s'il allait vraiment trouver ce qu'il cherchait, les Humains n'aimaient pas trop la magie, mais il y avait des gens... étranges qui ne vivaient que de cela, dont la vieille femme qui était la propriétaire de la boutique.

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